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    Les lingettes et les laits pour nourissons sont-ils toxiques ? C’est ce qu’affirme l’UFC-Que Choisir, tests à l’appui.

    La grande majorité des lingettes et laits de toilette pour bébés sont potentiellement nocifs, a averti mardi l’association de défense des consommateurs française UFC-Que Choisir, sur la foi de tests en laboratoire.

    Selon l’association, 26 lingettes et six laits de toilette grand public sur 34 produits testés sont saturés de molécules allergisantes, d’antibactériens ou d’antioxydants « toxiques, voire perturbateurs endocriniens ».

    L’absence de rincage serait encore pire

    L’UFC-Que Choisir précise dans un communiqué que 94 % des produits testés sont « potentiellement nocifs ». « Les lingettes utilisées pour nettoyer les bébés cumulent les facteurs de risque », écrit l’association. « Elles sont appliquées plusieurs fois par jour sur une peau de bébé souvent irritée. Pire, l’absence de rinçage après application a pour effet de prolonger le temps de pénétration. »

    Certaines substances, soupçonnées d’être des perturbateurs endocriniens mais dissimulées sous un étiquetage faussement rassurant, pourraient agir aux stades précoces du développement de l’enfance, ajoute-t-elle.

    Privilégier l’eau et le savon

    L’UFC-Que Choisir invite les parents à se méfier de ces « facilités cosmétiques » et à recourir plutôt à l’eau et au savon. Elle presse la Commission européenne de renforcer la réglementation sur ce type de produits.


  • À la rentrée 2013, l'Association des parents d'élèves des Sorinières (Apesor) a interpellé l'inspection académique sur « la dégradation des conditions d'enseignement des élèves de maternelle des deux écoles publiques de la commune ».

    L'Association précise que « La directrice de l'école maternelle du Clos-du-Moulin comptabilise à ce jour 95 élèves inscrits, (sans compter les huit sur liste d'attente. Soit une moyenne de 32 élèves par classe, supérieure à la moyenne ».

    « Au-delà de ce sureffectif, les enseignants ont en charge deux élèves porteurs de handicaps encadrés par deux postes trop faiblement dotés pour permettre leur intégration au sein de classes déjà surchargées ».

    Les parents indiquent : « Un constat identique est fait par la directrice de l'école maternelle de la Tilleulière. Soit 92 élèves répartis sur trois classes et trois écoliers très petite section sur liste d'attente. La moyenne de 31 élèves par classe en maternelle est atteinte ».

    Les parents d'élèves « s'inquiètent sur le peu d'attention » de l'inspection académique sur les difficultés des élèves et des enseignants « face à la dégradation de leurs conditions de travail ».

    L'Apesor s'interroge également « sur les difficultés des familles pour la sécurité et l'épanouissement de leurs enfants ».

    « Le seuil pour l'ouverture d'une quatrième classe est habituellement fixé par l'inspection académique à 94 enfants. En conséquence, ce seuil est, dans le cas de l'école maternelle du Clos-du-Moulin, dépassé. C'est donc en toute légitimité [...] que les parents d'élèves réclament l'ouverture, dès cette année, d'une quatrième classe à l'école maternelle du Clos-du-Moulin ».


  • Ci dessous, 2 liens pour avoir des infos sur les rythmes scolaires :

    • site officiel de l'éducation national :

     

    • site Ouest-France :


  • À l'occasion de Bibliothèques en fête, 27 enfants âgés de 3 à 7 ans ont assisté mercredi 2 octobre au spectacle Délivrés des Livres - Ciao Bye Bye, par la compagnie Artbiguë, à la bibliothèque municipale.


  • mardi 01 octobre 2013


    L'intervention de Sophie de Millhenheim (au fond de la classe) a suscité beaucoup d'intérêt de la part des élèves des CP et CE1 de l'école publique de la Tilleulière.

    Sophie de Mullhenheim, auteur de contes destinés à la jeunesse, s'est déplacée jeudi, à l'école primaire publique de la Tilleulière pour présenter ses oeuvres et expliquer sa passion pour l'écriture aux enfants des CP et CE1.

    « Je m'amuse quand j'écris », explique Sohpie de Mullhenheim. C'est son amour constant pour la lecture qui a conduit Sophie à l'écriture. Après un début dans l'édition des polars, elle vient rapidement à l'édition jeunesse.

    Aux enfants avides de question, elle explique comment on écrit un livre : « Après réflexions, je prends des notes. Je trouve un nom de personnage, j'écris mon histoire sur ordinateur. Après, je dois trouver un illustrateur, un maquettiste et un éditeur. » Comme les questions bifurquent sur sa vie privée, la petite Lorie rêve : « Tes enfants ont de la chance de pouvoir lire tes livres. »

    L'initiative de cette visite revient à Catherine Bresson, animatrice sur les accueils périscolaires du Clos-du-Moulin et de la Tilleulière. « Je suis actuellement stagiaire BPJEPS (Brevet professionnel de la jeunesse de l'éducation populaire et du sport). Le thème de ma soutenance est le livre. J'ai contacté Sophie. C'est la première fois qu'elle vient dans une école. »

    Les deux institutrices des classes concernées se sont associées au projet de l'animatrice. Marie-André Joint-Lavergne, directrice de l'établissement, souligne : « Ce partenariat s'inscrit dans le cadre du futur projet éducatif local qui va être mis en place à la rentrée prochaine. Catherine Bresson est intervenue dans les classes de CP et CP/CE1 pour lire un livre de l'auteur. » Elle ajoute : « En complémentarité de son intervention, nous avons continué à travailler sur les ouvrages de l'auteur : arts visuels, illustrations et sur le thème du conte. Le projet d'école sera poursuivi en amont dans les classes et en périscolaire. »





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